Aux questions posées en octobre 2025 :
- pouvez-vous nous indiquer ce qui s’est passé pour vous après votre DNMADe ?
- vers quelles formations, quelles professions, vous êtes-vous dirigé·es ?,
voici la réponse de
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Après avoir passé tout l’été sur liste d’attente pour ce DSAA, j’ai finalement été appelée le jeudi juste avant la rentrée pour intégrer la formation.
(N.B. : Persévérer et ne pas perdre espoir).
Je suis très contente et reconnaissante d’y être. À mon sens, c’est une formation qui peut vraiment s'inscrire dans la continuité du DNMADE Édition Multisupports de l’ÉSAAT. On y retrouve le même équilibre entre print et numérique, avec toutefois une orientation plus marquée vers la didactique, l'édition et le secteur culturel.
C’est une formation très enrichissante. Le rythme de travail et le matériel mis à disposition sont assez équivalents à ceux de l’ÉSAAT, avec également un bon suivi et une certaine confiance de la part des enseignant·es et une ambiance de classe très agréable. Chaumont est une petite ville très sympathique – et aussi la ville du graphisme en France ! Même si la formation se déroule dans un lycée (assez grand) avec seulement trois DNMADE et un DSAA, l’ensemble est très centré sur le graphisme, ce qui crée une atmosphère conviviale et stimulante aussi grâce à la proximité du Centre national du graphisme Le Signe, d'ailleurs partenaire de la formation.
Pendant les vacances, comme je pensais devoir arrêter les études, j’ai lancé ma micro-entreprise à la suite d'une première demande. Je commence donc à travailler un peu à côté des cours, notamment avec le musée Henri Boëz à Maubeuge (où j’avais effectué une partie de mon stage) sur des livrets de visite, brochures d’exposition, etc., ainsi qu’avec quelques commerçants et restaurateurs de ma ville natale dans le projet de réaliser des cartes et menus.
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